Et aussi : "Pardon my French", oui mais pourquoi ?
Meghan Markle a fait beaucoup parler d’elle ces dernières semaines avec la sortie de “With love, Meghan” sur Netflix. Dans cette série, la duchesse de Sussex, épouse du prince Harry, livre ses conseils sur comment bien recevoir ses amis à la maison et ses recettes de cuisine. Mais les critiques ont été vives, autant de la part des internautes que de la presse. Il faut dire qu’il est difficile de rivaliser avec celle que tous les Britanniques admirent pour ses talents culinaires : Mary Berry. Autrice de livres de cuisine et présentatrice de télévision, elle a d’ailleurs soufflé ses 90 bougies hier. Et vous savez quoi : le prince Williams lui-même a tenu à lui souhaiter un joyeux anniversaire ! Il avait d'ailleurs avoué il y a peu que c’était Mary Berry qui lui avait tout appris sur les secrets de la pâtisserie.
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Être populaire, c’est donc tout un art… Et ce n’est pas Loïc Le Gaillard qui dira le contraire. Le Français a réussi à faire de sa galerie Carpenters Workshop, qu’il a cofondée avec Julien Lombrail, l’une des plus en vue de Londres, mais aussi de Paris, New York et Los Angeles. Les deux associés ont choisi le quartier de Notting Hill pour construire, comme il nous le confie, le projet de leurs rêves : Ladbroke Hall, où se mêlent plusieurs formes d’art.
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En parlant d’art encore, Sacha Rennou a rencontré Anne-Caroline Le Mintier, ancienne commissaire priseur reconvertie en marchande d’objets de décoration anciens, acquis en France et en Angleterre. La Française de Londres anime aussi des conférences sur une variété de sujets, allant de Carl Fabergé, Elizabeth I à l’influence de l’Orient ou du Japon dans l’art.
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A découvrir également dans notre newsletter, l’interview de Sébastien Foucan, dont le “parkour” a tapé dans l’œil de Madonna et de James Bond. Notre journaliste Céline Ferrary a chaussé ses baskets pour un moment d'anthologie. Et vous allez aussi en apprendre un peu plus sur l’expression “Pardon my French”, que vous avez certainement entendu prononcer par nos amis britanniques. Ou quand la langue de Molière, synonyme de poésie et d’élégance, se retrouve associée, dans le monde anglophone, un langage, disons-le, plus trivial...
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Bonne lecture et bonne semaine !
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Leila Lamnaouer, rédactrice en chef
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