Grand Pix à Cannes en mai 2017, multi-césarisé (dont meilleur film français de l’année, meilleur acteur dans un second rôle pour Antoine Reinartz, meilleur jeune espoir masculin pour Nahuel Perez Biscayart, meilleur montage, meilleur scénario original, meilleure musique), nommé plusieurs fois dans différents festivals… Le film “120 battements par minute” a fait grand bruit ces derniers mois en France.
L’œuvre cinématographique, signée Robin Campillo et installée dans les années 90 à Paris, raconte l’histoire du célèbre groupe de militants contre le Sida, ACT UP. “Alors que l’épidémie de SIDA déchire leur communauté, les membres d’ACT UP Paris se battent pour survivre”, lit-on dans le synopsis officiel, “alors qu’ils luttent contre l’inertie gouvernementale, la cupidité pharmaceutique et l’ignorance publique, ils vont aussi faire la fête, débattre de la politique et, parfois, tomber amoureux”.
Rebaptisé “120 BPM”, le film sortira sur les écrans britanniques vendredi 6 avril dans les cinémas Curzon et les médias, comme The Guardian ou The Independent, ne tarissent pas d’éloges sur l’histoire de cette œuvre bouleversante.