Estelle Peyronnenc s’est installée à Londres en 2014, avec un rêve : devenir tatoueuse. Mais sans mentor, sans livres et avec un anglais approximatif, les débuts ont été rudes.
Après avoir démarché près de 90 salons à son arrivée, elle parvient finalement à se faire une place. Dix ans plus tard, elle tatoue chez Underground Tattoo, à Enfield, avec un style graphique inspiré du cubisme et du réalisme.
Elle revient sur ses débuts, ses galères et sa vision du métier.
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