Entre passion artistique, difficultés à se faire une place et remise en question du métier, Estelle Peyronnenc et Terrie Karam, installés depuis plus de dix ans à Londres, racontent leurs parcours de tatoueuses dans la capitale britannique.
Des débuts en autodidacte
Originaire de Montpellier, Estelle Peyronnenc découvre l’univers du tatouage à 14 ans lorsque son père l’accompagne dans un salon pour un piercing. “J'ai pu discuter avec des professionnels et cela m’a donné envie de rentrer dans ce milieu”, raconte-t-elle.
Passionnée de dessin, mais sans formation académique, elle commence à tato...