Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour cet épisode 2, Stéphanie Keller raconte le choc du retour pour elle et sa famille, et comment elle l’a surmonté.
2 Responses
Enfin oui sauf que Londres, c’est pas l’Angleterre loin de la, faut les trouver les Anglais!! Et dire “les Anglais” en parlant des Londoniens ne veut rien dire! Et ne pas savoir que le retour sera dur c’est vivre a cuckooland!! Nous rentrons apres 23 ans en GB, et franchement on voit le retour comme une nouvelle expatriation. Et apres 23 ans, je peux vous dire que la GB a enormement change, surtout depuis le 23 juin 2016, ce n’est PLUS un pays ouvert d’esprit, du tout. Il faut preparer un retour et ne pas partir sur un coup de tete. Et on ne part pas tous avec des contrats, tout comme on ne revient pas tous avec des contrats!
Hello alors moi non histories va vous faire rire! Je suis française des départements d outre mère. Je rentre au pays Martinique après 26 ans passer en Gb . Le choc n’est pas culturel car je retrouve ma musique soleil et tout le tralala! J ai due payer des frais énormes pour mes effets personnelles signer que je vais trouver du travail . Est que je suis devenue une émigrée dans mon pays mais franchement. Ne parlons même pas de donation de sang car la France refuse qui conque ayant vécue durant la période de la vache folle. Absurbe hein! De donner son sang il me faudrait écrire un livre pour expliquer la souxranc des expatriée de retour au pays natal c’est pas la joie c’est l’enfer et la galère. Surtout concernant les impositions si vous n aviez pas votre dernière fiche d impôt ou non imposable ni logement ni aidé ni CMU rien vous vous retrouverez comme un étranger avec le passeport français. Quelle honte vive la france/ Martinique.